La sélection tunisienne évoluera au stade Hamadi Agrebi de Rades

A la suite de la visite d'inspection effectuée par les services de la Confédération Africaine de Football pour les différentes installations sportives au continent africain, un seul stade tunisien a été habilité à recevoir les matches en éliminatoires de la Coupe du Monde 2022.

Sans grande surprise, seul le stade Hamadi Agrebi de Rades pourra accueillir les matches de la sélection tunisienne dans ces éliminatoires.

La Tunisie évoluera dans ces qualifications au sein du groupe B avec la Zambie, la Mauritanie et la Guinée Equatoriale.

Voici les dates des six journées des qualifications :

1ère journée : 05, 06, 07 et 08 juin 2021
2ème journée : 11, 12, 13 et 14 juin 2021
3ème journée : 01, 02, 03 et 04 septembre 2021
4ème journée : 05, 06 et 07 septembre 2021
5ème journée : 06, 07, 08 et 09 octobre 2021
6ème journée : 10, 11 et 12 octobre 2021

Commentaires

  1. TS
    EST DAWLA

    Publié par TS le Mardi 4 mai 2021 à 12:54

    Pourquoi l’Espérance et les autres !

    Alors que l’EST a glané, comme attendu depuis la phase aller au moins, son 31e titre de champion, l’Etoile a assuré son éternel rang de dauphin. Toute la différence est là : à l’EST, on s’est habitué à réserver tôt le sacre, et aux autres, y compris les concurrents classiques, on n’a que la seconde place au classement comme objectif sacré.

    Cette saison, l’EST a perdu à l’aller à Sfax, et tout le monde a pensé que le championnat est relancé et que le CSS va déranger cette EST toujours aussi assoiffée. Au contraire, il fallait comprendre après cette liesse exagérée du président du CSS porté par ses joueurs (comme s’il avait gagné le titre !) que, dans la tête des Sfaxiens, battre l’EST était l’accomplissement.

    Après cette victoire, le CSS a concédé deux nuls et l’EST a gagné deux fois. Toute la différence est là : on est arrivé à une époque sur notre championnat où l’EST vole seule, où le ca, le css et l’ess, ses adversaires classiques, sont tombés si bas dans leur misère et dans leurs histoires de complots et de bras de fer internes.

    L’EST est restée cette machine à gagner, alors que les autres sont devenus de simples outsiders démunis de force et mal gérés. Plus que la force de l’EST, ce sont la fragilité et la peur de ses concurrents qui expliquent en partie la suprématie «sang et or» sur le championnat.

    A l’EST, il y a Hamdi Meddeb, discret et qui ne se manifeste pas sur les médias depuis plus de 14 ans, mais qui travaille sans tapage. Il est le bailleur de fonds et le premier sponsor de son club, il se fait entourer de quelques dirigeants qui doivent suivre sa politique sportive, sans oublier les dizaines de compétences en gestion qui apportent leurs connaissances en silence.

    Contrairement aux autres clubs, les problèmes de l’EST ne sont pas médiatisés, les dirigeants ne se livrent pas à des conflits à couteaux tirés sur les médias.

    Ce n’est pas une question de titre gagné, c’est une question de continuité et de direction qui préserve ses joueurs et qui «sacralise» les couleurs du club. On ne joue que pour gagner sans jamais être rassasié.

    Le même joueur qui enfile le maillot de l’EST doit embrasser cette culture de la gagne. Son attitude doit changer, car il sait qu’il y a un président et un public qui n’ont peur d’aucune star. Après avoir dominé la scène locale, l’EST est passée à l’Afrique. Depuis 2018, elle est un acteur principal et rivalise sur et hors du terrain avec les cadors tels que Al Ahly ou Ezzamalek. Pendant ce temps-là, les autres clubs vivent des problèmes financiers, des crises aiguës et opèrent dans des environnements internes chaotiques.

    Ils ne pensent qu’à l’EST, ils n’ont dans la tête que la battre sur un seul match, mais n’ont pas le souffle pour gagner le titre. En jouant le rôle de «victimes du système», ils cachent leurs tares, leurs peurs et la régression de leurs labels. L’EST et les autres est une réalité de notre football, les chiffres en disent long sur ce fossé!